Le phénomène des Late Bloomers?
L’expression Late bloomer signifie littéralement floraison tardive a vu le jour aux États-Unis pour décrire un phénomène;
Celui de ceux qui incarnent, à un âge plus avancé, ce qu’ils ont toujours rêvé d’être.
L’article que je vous partage jette un regard différent sur les histoires à succès instantanées qui dominent les médias et créer une pression encore plus grande sur la performance des jeunes et moins jeunes entrepreneurs.
Il n’est donc jamais trop tard pour s’épanouir, éclore, réussir et même avoir un succès monstre!
J’ai envie de te parler de :
- Martin St-Louis (pour les amateurs de Hockey) ;
- De Steve Carell, devenu célèbre à 43 ans;
- De tous les dirigeants politiques qui accèdent au pouvoir après une vie et une carrière étoffée
- K. Rowling (auteur des fameux Harry Potter)
- Vera Wand (Fashion designer,40 ans)
- Viola Davis (51 ans, How to get away with murder)
- D’autres exemples te viennent en tête?
Cécile Kapfer, psychologue remarque qu’il y a un dénominateur commun chez les late bloomers; « celui d’avoir été empêchés ou de s’être empêchés.»
Vous empêchez-vous d’avancer ou vous laissez-vous influencer par des proches?
Les gens d’expérience qui ont un bagage professionnel et personnel qui trouvent leur voie à 40 ans, 50 ans, même 70 ans ont un avantage… ils ont choisi d’être eux-mêmes, ce que peu de gens ont le courage de faire.
L’anxiété de performer et de réussir dès que vous lancez votre entreprise?
Qu’après trente ans, si la prospérité n’est pas au rendez-vous… c’est que vous êtes passé à côté?
Sachez qu’il n’est jamais trop tard pour être où vous avez envie d’être et que vous êtes la seule personne responsable de vos choix.
Parlez-en à des amis, des professionnels, un réseau de contacts ou à votre coach.
Tu te demandes pour quelles raisons travailler avec un coach ?
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